Selon la FNAIM, le marché de l’immobilier a connu en 2021 un volume de transactions exceptionnel. Au niveau national, ce sont 1 182 000 transactions qui ont été enregistrées soit +15% par rapport à 2020 (et +11% par rapport à 2019). Point notable, selon la FNAIM, cette augmentation est à imputer en grande partie aux transactions dans les villes moyennes, périphéries de métropoles et zones rurales.
Cette demande s’accompagne d’une hausse du prix du mètre carré : 7% en moyenne sur l’année 2021, hausse plus élevée encore sur les maisons (+8,1%). Cette augmentation du prix du mètre carré peut aller encore au-delà suivant les zonés géographiques : + 18,4 % à Brest par exemple (toujours hausse entre 2020 et 2021), + 14 % à La Rochelle ou + 13,2 % à Orléans. Sur le Comminges la hausse serait de 18% sur le prix des maisons.
Ainsi, alors que les prix stagnent à Paris, les villes moyennes et zones rurales prennent le relais. Selon Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM, les acquéreurs sont à la recherche « d’espaces plus grands, plus proches de la nature, quitte à augmenter les temps de trajet ».
Une opportunité supplémentaire pour le Comminges ?